Eustache Le Sueur. El nacimiento de Cupido. 1645-7. El Louvre.
PSYCHANALYSE DES MUTILATIONS SEXUELLES,
MUTILATION SEXUELLE DE LA PSYCHANALYSE
(Freud entre Sophocle, Abraham et Alice Miller)
"… non seulement le corps de
l'enfant ne nous appartient pas,
Introduction
Les deux grandes découvertes de Freud : la sexualité
infantile et le mécanisme de l’inconscient, sont corollaires l'une de l'autre
puisque l'inconscient est issu de la répression de la première. Les mutilations
sexuelles étant le comble de cette répression, la psychanalyse apporte un
savoir essentiel pour les comprendre et les condamner. Elles lui posent cependant
un véritable défi. En effet, le traumatisme de sa propre circoncision a
provoqué plusieurs erreurs cliniques et théoriques de Freud. Les mutilations
sexuelles illustrent ainsi tout particulièrement le constat d'Alice Miller que
le traumatisme est un facteur majeur de psychopathologie.
Nous ne pouvons citer dans ce bref
bilan les réflections sur les mutilations sexuelles de Bettelheim, Groddeck, Roheim,
Lewinter, Dolto, Leboyer, Kristeva, Miller, Nathan, Tractenberg et autres. Avec
celles de Freud, leur rassemblement constituerait presque une théorie
psychanalytique des mutilations sexuelles. Nous nous contenterons des
réflexions de Freud.
I Le tableau clinique (psychanalyse
des mutilations sexuelles)
1) Introduction :
répression de l'autosexualité et menace de castration
Sous une forme ou sous une autre, toutes les sociétés humaines
répriment à divers degrés la sexualité infantile : l'autosexualité, pour
dominer la jeunesse et prévenir l'inceste. Survenant avant la jalousie envers
le parent du même sexe, cette répression est la cause première du refoulement et
peut, en conséquence, provoquer l'échec du complexe d'Œdipe. Freud l'appelle "le
complexe nucléaire des névroses"[2].
Or le refoulement est d'autant plus intense que la répression parentale est
accompagnée de violence ou de menaces de violences et la clinique
psychanalytique constate régulièrement les dommages provoqués par la violence
érigée en système d'éducation. Surtout si cette violence, exercée au nom du
traditionnel mensonge : "C'est pour ton bien.", concerne le sexe. La
violence est et a été, pendant des générations, la base des systèmes éducatifs
de l'humanité, si bien que les psychonévroses sont les maladies les plus courantes.
Comble de cette violence, les mutilations sexuelles doivent être condamnées par
tous ceux qui veulent éviter de rendre l'enfant névrotique, pervers ou
psychotique. Freud fut un des premiers dans l'histoire à les condamner :
"... les petits garçons entendent dire
que les Juifs ont quelque chose de coupé au pénis "– un morceau du
pénis, pensent-ils – ce qui leur donne
un droit de mépriser les "Juifs."[3]
"... l'angoisse de castration est un
des moteurs les plus fréquents et les plus forts du refoulement et par
là même, de la formation des névroses. Des analyses de cas où ce ne fut pas la castration
mais bien la circoncision qui fut pratiquée chez des garçons comme thérapie ou comme
punition de l'onanisme (ce qui ne fut pas rare dans la société
anglo-américaine) ont donné la dernière certitude à notre
conviction."[4]
S'attaquant à un tabou, il prend des gants. Sa
condamnation est indirecte ; elle semble ne viser que les anglo-saxons. Son
affirmation que la circoncision est une menace de castration sera d'ailleurs posthume[5] et suggérée par le biais
d'une note de bas de page. Mais il n'a jamais énoncé l'évidence que la circoncision est la
castration de l'organe spécifique de l'autosexualité masculine, ce dont il est
difficile à un circoncis de prendre conscience. Etablissant un
parallèle entre
la circoncision et les effets cliniques ravageurs des menaces
verbales de castration qui sévissent dans la société occidentale dont il parle
dans le corps du texte, il écrit dans cette note :
"(1)… Une très ancienne coutume, la
circoncision, autre substitut symbolique de la castration, ne peut être
considérée que comme l'expression de la soumission à la volonté paternelle... ",
Puisque toute la famille et
non l'enfant, se soumet non au père mais au grand-père et au groupe sociétal
tyrannique, cette bévue atteste du profond traumatisme de Freud dû à sa propre circoncision.
Alice Miller affirme que le traumatisme provoque la paralysie, ici partielle bien
évidemment, de la pensée. En effet ! Une menace de castration, qu'elle soit
verbale ou agie, est particulièrement traumatisante. Une castration partielle
est en même temps une menace de castration totale et une menace de mort, et
donc un outil très efficace pour soumettre l'enfant et l'adulte par la terreur.
De plus, même dans les cultures non exciseuses, la circoncision est
indirectement une menace d'excision des filles et donc une grande cause de dommage
psychologique pour elles aussi.
2) La circoncision : bais
culturel de Freud
Les croyances de Freud en matière de sexologie
témoignent d'une ignorance qui va jusqu'au mépris des organes de
l'autosexualité, le tabou des tabous. D'un côté, il qualifie
le clitoris d' "organe inférieur":
De
la part de celui qui a découvert les testicules de l'anguille mâle, ce jugement
de valeur à l'opposé de la réalité est particulièrement aberrant. Dénigrant un
organe de plaisir unique dans la nature, le malheureux circoncis semble très
jaloux. Car, tout au contraire, le clitoris est le prototype de l'organe de
plaisir, sans aucune autre fonction puisque, à la différence du pénis, il ne
participe ni de la miction ni de la reproduction. Erectile, il est le phallus
de la femme. Considérer comme inférieur un organe purement sexuel présent chez
tous les mammifères est inadmissible. Freud dénie précisément la réalité du
fait que le clitoris est un pur organe de plaisir. C'est parce qu'il considère
l'autosexualité inférieure, névrotisante et déraisonnable qu'il considère son
organe le plus spécifique comme inférieur. Il est ainsi victime du refoulement
massif de l'autosexualité de la culture judaïque. Il est malheureux que
l'autosexualité soit névrotisante pour un circoncis. Ce n'est pas étonnant mais
ne saurait être généralisé. La grande erreur de Freud est qu'il considère la
fonction phallique, soit la fonction érotico-érectile, comme masculine :
"Compte tenu des activités
auto-érotiques et masturbatoires, on pourrait poser comme thèse que la
sexualité des petite filles a un caractère entièrement masculin."[7]
La
mutilation sexuelle de Freud explique sa conception dissymétrique,
phallocentrique, de la sexualité. Son affirmation selon laquelle la petite
fille souffrirait d'être privée de pénis paraît être une projection sur la
femme de sa propre envie inconsciente de vagin.
De l'autre côté, comme tous les
circoncis dans l'enfance, Freud méconnait la réalité et la nature féminine du
prépuce :
"En effet, l'homme n'a qu'une seule
zone sexuelle prédominante, un organe sexuel, tandis que la femme en
possède deux : le vagin – proprement féminin – et le clitoris, analogue au
membre masculin."[8]
"La femme est plus bisexuelle que
l'homme à cause de son clitoris analogue au pénis."[9]
comme si le prépuce n'existait pas en symétrie
fonctionnelle absolue avec le clitoris dans l'autosexualité, symétrie incluant
les contractions orgasmiques isolées et indéfiniment répétitives qu'un
circoncis ne peut connaître. Ceux qui n'ont pas de prépuce ne peuvent deviner sa
valeur de deuxième organe sexuel, féminin, de l'homme, un très pratique et très
érogène minivagin de poche.
3) Le cas de Claude Olievenstein
Dans
un chapitre autobiographique où il ne parle pas une seule fois de circoncision
mais qui abonde en références inconscientes à cette dernière, le psychiatre
Claude Olievenstein nous fournit aussi un magnifique exemple :
"La parano des adultes commence, me
semble-t-il, très tôt dans leur enfance, tout
près de la sortie de l'utérus maternel."[10]
– huit jours plus tard
effectivement !
4) Le cas Anna Freud
Culpabilisant
l'autosexualité, au moins dans son adolescence, la propre fille de Freud fut
victime de la fausse théorie de son père selon laquelle l'autosexualité serait
névrotisante et devrait être combattue. A 18 ans, elle écrivit à l'inventeur de
la sexualité infantile (!) qu'elle luttait contre son penchant à l'autosexualité[11].
II – Pratique et théorie (mutilation
sexuelle de la psychanalyse)
1) Pratique
Freud a commis une erreur grave dans l'analyse de son
plus fameux patient : l'Homme-Loup. Le jour où le jeune garçon a joué avec son
pénis devant sa nourrice bien-aimée, cette dernière l'a réprimandé : "Les
enfants qui font cela, il leur vient une blessure à cet endroit." Formulée
sur un ton sévère, il s'agit d'une prédiction malveillante accompagnée d'une
menace de perte de l'amour, et donc d'exclusion. Mais Freud l'interprète comme
une menace de castration. Cette projection de son propre traumatisme de circoncis
eut une incidence négative sur l'analyse du patient.
2) Théories ethnologiques
Dans ses deux théories anthropologiques complémentaires
sur la circoncision, datant de 1916 et 1936, Freud se montre maladroit et
timide.
Sa théorie de 1916, réaffirmée en 1933, est apologétique
de la circoncision : il la présente comme un progrès par rapport à la
castration, sans preuve que la castration existait auparavant :
"Il ne me semble pas douteux que la
circoncision, …, est un équivalent de la castration et vient en prendre
le relais."[12]
Il est très probable que, dans l'antiquité, la
circoncision, la castration et les sacrifices humains existaient, ensemble ou
séparément, suivant les sociétés. Seule la disparition de l'un ou de l'ensemble
de ces actes de barbarie constitue un progrès.
Il en est de même de sa fausse théorie de 1936, reproduite
dans l'œuvre posthume ci-dessus mentionnée et commentée :
"... quiconque adoptait ce symbole
montrait qu'il était prêt à se soumettre à la volonté du père... "[13]
Enfin,
Freud aurait dû formuler la théorie psycho-sociologique des mutilations
sexuelles infantiles chez les primitifs des sociétés polygames comme prévention
de l'inceste aux deux parents par la menace de castration (garçons) ou de mort
(garçons et filles).
3) La dénaturation par
Freud de l'Oedipe de Sophocle
Le principal biais culturel provoqué par la circoncision
dans la théorie freudienne réside dans une vision du complexe d'Oedipe qui
dénature, en l'affaiblissant, le mythe de Sophocle. Roheim fut le premier à souligner le fait que les rituels de
séparation de la mère / soumission au père des primitifs faussent le complexe
d'Oedipe :
"... la surabondance des rituels
traitant de ce thème (l'oralité) est un camouflage du complexe d'Oedipe."[14]
Cette remarque s'applique
bien évidemment à la circoncision. Cependant, Freud interprète l'aveuglement
d'Oedipe comme une castration :
"La castration, et l'aveuglement qui
s'y substitue, sont la punition... "[15]
C'est erroné. Chez
Sophocle, averti par l'oracle, le père tente de tuer son fils en l'abandonnant
dans la nature. Interpréter l'auto-punition d'Œdipe comme une castration, ce
qui n'est pas un meurtre, est donc totalement fantaisiste. Freud a projeté sur
le mythe de Sophocle la menace de castration de la circoncision, extrêmement
prégnante puisque consistant en un début de réalisation. Pour Sophocle, l'aveuglement
d'Œdipe symbolise seulement son ignorance, sa "cécité", son
inconscience lorsqu'il a tué son père et épousé sa mère, double cécité donc (un
œil pour papa, un œil pour maman). Le fait que Freud ait transformé cette
métaphore en une affaire de castration est le comble de... son propre
aveuglement, résultant de l'angoisse et des fantasmes de castration d'un circoncis.
Dans le scénario de Sophocle, la punition paternelle est la mort, ce qui est le
fantasme inconscient normal : désir de tuer son père pour épouser sa mère /
peur d'être tué par lui. Freud a donc projeté sur le mythe hellénistique la
très judaïque idée d'une punition par la castration plutôt que par la mort.
Victime du traumatisme de sa circoncision, il a dénaturé, gauchi selon le terme
de Roheim, l'Œdipe de Sophocle. Ce n'est pas Freud mais Sophocle qui a inventé
l'inconscient et le complexe d'Oedipe. Freud, lui, inventé la science du déchiffrement
de l'inconscient, ce qui est tout autre chose.
La conséquence de ce biais culturel est une grave erreur
théorique qui fausse la théorie et la pratique psychanalytique : Freud
substitue aux fantasmes courants de castration un "complexe de castration"
inexistant, qu'il intègre improprement au complexe d'Oedipe.
Pour ceux qui n'ont pas été traumatisés par une
mutilation sexuelle, à l'âge des impulsions sexuelles pour le parent du même
sexe et de la jalousie envers l'autre, la menace imaginée par l'enfant face à
ses désirs concernant le couple parental, n'est pas la castration mais la mort
par exclusion de la famille. Freud a très justement formulé cela pour les filles
mais très regrettablement pas pour les garçons !
Dans les cultures pratiquant la circoncision, le complexe
d'Oedipe (moment de l'intégration dans la société) est faussé. Une menace
réelle de castration vient se substituer à la crainte imaginaire de la mort
résultant du désir inconscient de tuer le parent du même sexe. Mais la bonne
résolution de l'Oedipe ne peut résulter d'une atteinte (ou d'une menace
d'atteinte) physique par autrui. Tout au contraire la mise en valeur, positive
ou négative, d'une quelconque partie du corps, par une violence réelle ou verbale
du groupe social, constitue une inacceptable ingérence dans le développement de
l'individu et la vie familiale, source de psychopathologie de masse. Cette
affirmation a trouvé une illustration particulièrement choquante en Israël où
une décision de justice, heureusement réformée en appel, a condamné une mère à
une lourde astreinte journalière tant qu'elle n'aurait pas fait circoncire son
fils.
Les circoncis, ou ceux qui ont subi des menaces de
castration, peuvent trouver une échappatoire, croire à une atténuation en leur
faveur de la Loi universelle. Rien de tel qu'une circoncision ou une menace de
castration pour pervertir un enfant. Douter des actes de ses géniteurs lui est
difficile. Il est naturellement conduit à se targuer, avec une grande richesse
d'arguments, de leurs bienfaits comme de leurs méfaits, y compris envers
lui-même. Devenu adulte, ce qui semble avoir toujours existé lui paraît
naturel, il le reproduira.
Le circoncis risque donc de faire de son infirmité un
dérisoire alibi. Une castration partielle lui apporte le réconfort d'un signe
d' "identification" le mettant au-dessus des femmes et du commun des
mortels. Comme s'il suffisait d'une mutilation pour quitter (ou ne pas quitter)
l'enfance ! Ce n'est pas tant que les autres hommes, les "étrangers",
sont intimement considérés comme des exclus méprisables, sales et intouchables
sous peine de contamination. C'est surtout qu'il serait impensable qu'ils
épousent leur fille ou leur sœur. L'endogamie raciste et la possession des
femmes sont certainement un des buts de l'opération. C'est aussi que la
circoncision marque l'appartenance à une communauté violente – et donc supposée
puissante. Prétendument plus rassurant que des documents d'identité, un signe particulier
devient ainsi le paradigme du narcissisme de groupes qui s'excluent de la
communauté universelle et discriminent cette dernière. Ce trait d' "identification"
(amalgamée avec appartenance) place définitivement ses détenteurs dans une
caste : les "élus", qui peut croire que tout lui est permis (lapidation,
excision, mariage forcé, polygamie, … etc.) ou que tout lui est dû (la "terre
promise"). C'est donc, par une action violente sur l'inconscient et les
motivations puissantes du monde des affects, une technique perverse
d'enrôlement de l'individu dans une société brutale. Elle renforce la division
du monde en groupes rivaux se livrant à des guerres sans merci.
Conclusion
La circastration est le boulet aux pieds de la
psychanalyse qui interdit aux message de Freud d'être entendu. D'une part Roheim
lui-même n'a pas tiré la conséquence de sa magistrale observation que les
mutilations sexuelles sont susceptibles de provoquer l'échec de l'Oedipe, d'autre
part la "castration" de la femme n'est pas un concept opérant. Par
contre, en inventant des séances courtes aux tarifs délirants, Lacan a sauté
sur l'idée de castration symbolique pour, comme l'a démontré Elisabeth Roudinesco[16],
faire fortune en opérant la "castration" du portefeuille de ses
clients. Cependant, la psychanalyse apporte une étiologie, une prévention et un
traitement des maladies mentales. Le dépassement des failles dues à la
mutilation sexuelle de son fondateur – ce qui suppose une restauration en profondeur
– lui permettra de mieux le faire dans l'avenir. Elle stigmatise les
mutilations sexuelles comme l'expression de la pulsion de domination par des
fantasmes sadiques et pédophobes. Cette pulsion est fortement renforcée par le
déni de la réalité de la perte et donc du crime. La psychanalyse apporte au combat
contre les mutilations sexuelles d'abord une méthode de décodage de l'inconscient
qui permet de retrouver dans chaque cas individuel l'enchaînement des circonstances
du traumatisme, préalable à la guérison, ensuite la dynamique d'une éthique
concernant à la fois le développement de l'enfant et la socio-politique. La
barbarie des excisions féminines et masculines émane d'un désordre moral
contagieux qui pousse les individus circoncis et même les peuples non circoncis
vers l' "ordre moral". Elle doit être abolie dans les meilleurs
délais.
Articles liés :
- Mutilations sexuelles et ordre moral,
- La circoncision, une dangereuse folie collective
Sigismond (Michel Hervé Bertaux-Navoiseau) – oldsigismund@hotmail.com
Chercheur
indépendant en psychanalyse, ancien élève du Département psychanalyse de
l'Université de Paris VIII, auteur
de "Les mutilations sexuelles masculines et féminines, le plus grand crime
contre l'humanité", disponible gratuitement sur https://independent.academia.edu/Michel_Herv%C3%A9_Bertaux_Navoiseau.
Ce texte a fait l'objet
d'une conférence donnée le 4 septembre 2008 à l'université de Keele (RU), au 10ème
symposium international de NOCIRC, organisé avec NORM-UK et la Faculté de droit
de l'université. Il est publié sur le site de l'Institut européen psychanalyse
et travail social : psychassoc.com et a été cité par Jean-Pierre Rosenczveig.
[1] Les
jeux sexuels de vos enfants. Interview par Pierre Bénichou. Planning familial,
octobre 1969 (3), 9.
[2]
L'homme aux rats. 1909. Paris : PUF ; 1998. O.C., IX, 179, n., 2ème §
[3] Le petit Hans. 1909. Paris : PUF ; 1993.
O.C., X, p. 31, n. 1.
[4]
Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse. 1933. XIX. Paris : PUF
; 1995. O.C., XIX : 170.
[5]
Abrégé de psychanalyse. 1938. Paris : PUF ; 1978. 60-62
[6] Le
fétichisme. 1927. p. 131.
[7] Freud
S. Trois Essais sur la Théorie de la Sexualité. 1905 Paris, Gallimard, 1932, pp.
147 et 148.
[8] Sur
la sexualité féminine. 1931. Paris : PUF ; 1995. O.C. XIX. 12, 2ème
§.
[10]
L'homme parano. Paris : Odile Jacob ; 1992. p. 43.
[11] Correspondance Sigmund Freud – Anna Freud, 1904 – 1938. Paris
: Fayard ; 2012. p. 89-90 et Préface
d'Elisabeth Roudinesco, p. 15.
[12]
Leçons d'introduction à la psychanalyse. 1916-17. Paris : PUF ; 2000. O.C.,
XIV, p. 170.
[13]
L'homme Moïse et le monothéisme. Paris : Gallimard ; 1986. 223-24.
[14]
Psychanalyse et anthropologie. 1950. Paris : Gallimard ; 1967. 192-93.
[15] Totem et tabou. 1912. Paris : PUF ; 1998.
O.C., XI. 347.
[16]
Histoire de la psychanalyse. t II.
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