domingo, 10 de febrero de 2013

PSYCHANALYSE DES MUTILATIONS SEXUELLES, MUTILATION SEXUELLE DE LA PSYCHANALYSE, Michel Hervé Bertaux-Navoiseau


Eustache Le Sueur. El nacimiento de Cupido. 1645-7. El Louvre.


PSYCHANALYSE DES MUTILATIONS SEXUELLES,
MUTILATION SEXUELLE DE LA PSYCHANALYSE
(Freud entre Sophocle, Abraham et Alice Miller)


                                                       "… non seulement le corps de l'enfant ne nous appartient pas,

                                                      "mais son sexe encore moins." Françoise Dolto [1]


Introduction

            Les deux grandes découvertes de Freud : la sexualité infantile et le mécanisme de l’inconscient, sont corollaires l'une de l'autre puisque l'inconscient est issu de la répression de la première. Les mutilations sexuelles étant le comble de cette répression, la psychanalyse apporte un savoir essentiel pour les comprendre et les condamner. Elles lui posent cependant un véritable défi. En effet, le traumatisme de sa propre circoncision a provoqué plusieurs erreurs cliniques et théoriques de Freud. Les mutilations sexuelles illustrent ainsi tout particulièrement le constat d'Alice Miller que le traumatisme est un facteur majeur de psychopathologie.
            Nous ne pouvons citer dans ce bref bilan les réflections sur les mutilations sexuelles de Bettelheim, Groddeck, Roheim, Lewinter, Dolto, Leboyer, Kristeva, Miller, Nathan, Tractenberg et autres. Avec celles de Freud, leur rassemblement constituerait presque une théorie psychanalytique des mutilations sexuelles. Nous nous contenterons des réflexions de Freud.


I Le tableau clinique (psychanalyse des mutilations sexuelles)

1) Introduction : répression de l'autosexualité et menace de castration
            Sous une forme ou sous une autre, toutes les sociétés humaines répriment à divers degrés la sexualité infantile : l'autosexualité, pour dominer la jeunesse et prévenir l'inceste. Survenant avant la jalousie envers le parent du même sexe, cette répression est la cause première du refoulement et peut, en conséquence, provoquer l'échec du complexe d'Œdipe. Freud l'appelle "le complexe nucléaire des névroses"[2]. Or le refoulement est d'autant plus intense que la répression parentale est accompagnée de violence ou de menaces de violences et la clinique psychanalytique constate régulièrement les dommages provoqués par la violence érigée en système d'éducation. Surtout si cette violence, exercée au nom du traditionnel mensonge : "C'est pour ton bien.", concerne le sexe. La violence est et a été, pendant des générations, la base des systèmes éducatifs de l'humanité, si bien que les psychonévroses sont les maladies les plus courantes. Comble de cette violence, les mutilations sexuelles doivent être condamnées par tous ceux qui veulent éviter de rendre l'enfant névrotique, pervers ou psychotique. Freud fut un des premiers dans l'histoire à les condamner :

"... les petits garçons entendent dire que les Juifs ont quelque chose de coupé au pénis "– un morceau du pénis, pensent-ils – ce qui leur donne un droit de mépriser les "Juifs."[3]

"... l'angoisse de castration est un des moteurs les plus fréquents et les plus forts du refoulement et par là même, de la formation des névroses. Des analyses de cas où ce ne fut pas la castration mais bien la circoncision qui fut pratiquée chez des garçons comme thérapie ou comme punition de l'onanisme (ce qui ne fut pas rare dans la société anglo-américaine) ont donné la dernière certitude à notre conviction."[4]

S'attaquant à un tabou, il prend des gants. Sa condamnation est indirecte ; elle semble ne viser que les anglo-saxons. Son affirmation que la circoncision est une menace de castration sera d'ailleurs posthume[5] et suggérée par le biais d'une note de bas de page. Mais il n'a jamais énoncé l'évidence que la circoncision est la castration de l'organe spécifique de l'autosexualité masculine, ce dont il est difficile à un circoncis de prendre conscience. Etablissant un parallèle entre la circoncision et les effets cliniques ravageurs des menaces verbales de castration qui sévissent dans la société occidentale dont il parle dans le corps du texte, il écrit dans cette note :

"(1)… Une très ancienne coutume, la circoncision, autre substitut symbolique de la castration, ne peut être considérée que comme l'expression de la soumission à la volonté paternelle... ",

Puisque toute la famille et non l'enfant, se soumet non au père mais au grand-père et au groupe sociétal tyrannique, cette bévue atteste du profond traumatisme de Freud dû à sa propre circoncision. Alice Miller affirme que le traumatisme provoque la paralysie, ici partielle bien évidemment, de la pensée. En effet ! Une menace de castration, qu'elle soit verbale ou agie, est particulièrement traumatisante. Une castration partielle est en même temps une menace de castration totale et une menace de mort, et donc un outil très efficace pour soumettre l'enfant et l'adulte par la terreur. De plus, même dans les cultures non exciseuses, la circoncision est indirectement une menace d'excision des filles et donc une grande cause de dommage psychologique pour elles aussi.

2) La circoncision : bais culturel de Freud
            Les croyances de Freud en matière de sexologie témoignent d'une ignorance qui va jusqu'au mépris des organes de l'autosexualité, le tabou des tabous. D'un côté, il qualifie le clitoris d' "organe inférieur":

"… le prototype de l'organe inférieur, c'est le petit pénis réel de la femme, le clitoris."[6],

De la part de celui qui a découvert les testicules de l'anguille mâle, ce jugement de valeur à l'opposé de la réalité est particulièrement aberrant. Dénigrant un organe de plaisir unique dans la nature, le malheureux circoncis semble très jaloux. Car, tout au contraire, le clitoris est le prototype de l'organe de plaisir, sans aucune autre fonction puisque, à la différence du pénis, il ne participe ni de la miction ni de la reproduction. Erectile, il est le phallus de la femme. Considérer comme inférieur un organe purement sexuel présent chez tous les mammifères est inadmissible. Freud dénie précisément la réalité du fait que le clitoris est un pur organe de plaisir. C'est parce qu'il considère l'autosexualité inférieure, névrotisante et déraisonnable qu'il considère son organe le plus spécifique comme inférieur. Il est ainsi victime du refoulement massif de l'autosexualité de la culture judaïque. Il est malheureux que l'autosexualité soit névrotisante pour un circoncis. Ce n'est pas étonnant mais ne saurait être généralisé. La grande erreur de Freud est qu'il considère la fonction phallique, soit la fonction érotico-érectile, comme masculine :

"Compte tenu des activités auto-érotiques et masturbatoires, on pourrait poser comme thèse que la sexualité des petite filles a un caractère entièrement masculin."[7]

La mutilation sexuelle de Freud explique sa conception dissymétrique, phallocentrique, de la sexualité. Son affirmation selon laquelle la petite fille souffrirait d'être privée de pénis paraît être une projection sur la femme de sa propre envie inconsciente de vagin.

            De l'autre côté, comme tous les circoncis dans l'enfance, Freud méconnait la réalité et la nature féminine du prépuce :

"En effet, l'homme n'a qu'une seule zone sexuelle prédominante, un organe sexuel, tandis que la femme en possède deux : le vagin – proprement féminin – et le clitoris, analogue au membre masculin."[8]

"La femme est plus bisexuelle que l'homme à cause de son clitoris analogue au pénis."[9]

comme si le prépuce n'existait pas en symétrie fonctionnelle absolue avec le clitoris dans l'autosexualité, symétrie incluant les contractions orgasmiques isolées et indéfiniment répétitives qu'un circoncis ne peut connaître. Ceux qui n'ont pas de prépuce ne peuvent deviner sa valeur de deuxième organe sexuel, féminin, de l'homme, un très pratique et très érogène minivagin de poche.

3) Le cas de Claude Olievenstein
            Dans un chapitre autobiographique où il ne parle pas une seule fois de circoncision mais qui abonde en références inconscientes à cette dernière, le psychiatre Claude Olievenstein nous fournit aussi un magnifique exemple :

"La parano des adultes commence, me semble-t-il, très tôt dans leur enfance, tout près de la sortie de l'utérus maternel."[10]

– huit jours plus tard effectivement !

4) Le cas Anna Freud
            Culpabilisant l'autosexualité, au moins dans son adolescence, la propre fille de Freud fut victime de la fausse théorie de son père selon laquelle l'autosexualité serait névrotisante et devrait être combattue. A 18 ans, elle écrivit à l'inventeur de la sexualité infantile (!) qu'elle luttait contre son penchant à l'autosexualité[11].


II – Pratique et théorie (mutilation sexuelle de la psychanalyse)

1) Pratique
            Freud a commis une erreur grave dans l'analyse de son plus fameux patient : l'Homme-Loup. Le jour où le jeune garçon a joué avec son pénis devant sa nourrice bien-aimée, cette dernière l'a réprimandé : "Les enfants qui font cela, il leur vient une blessure à cet endroit." Formulée sur un ton sévère, il s'agit d'une prédiction malveillante accompagnée d'une menace de perte de l'amour, et donc d'exclusion. Mais Freud l'interprète comme une menace de castration. Cette projection de son propre traumatisme de circoncis eut une incidence négative sur l'analyse du patient.

2) Théories ethnologiques
            Dans ses deux théories anthropologiques complémentaires sur la circoncision, datant de 1916 et 1936, Freud se montre maladroit et timide.
            Sa théorie de 1916, réaffirmée en 1933, est apologétique de la circoncision : il la présente comme un progrès par rapport à la castration, sans preuve que la castration existait auparavant :

"Il ne me semble pas douteux que la circoncision, …, est un équivalent de la castration et vient en prendre le relais."[12]

            Il est très probable que, dans l'antiquité, la circoncision, la castration et les sacrifices humains existaient, ensemble ou séparément, suivant les sociétés. Seule la disparition de l'un ou de l'ensemble de ces actes de barbarie constitue un progrès.

            Il en est de même de sa fausse théorie de 1936, reproduite dans l'œuvre posthume ci-dessus mentionnée et commentée :

"... quiconque adoptait ce symbole montrait qu'il était prêt à se soumettre à la volonté du père... "[13]

            Enfin, Freud aurait dû formuler la théorie psycho-sociologique des mutilations sexuelles infantiles chez les primitifs des sociétés polygames comme prévention de l'inceste aux deux parents par la menace de castration (garçons) ou de mort (garçons et filles).

3) La dénaturation par Freud de l'Oedipe de Sophocle
            Le principal biais culturel provoqué par la circoncision dans la théorie freudienne réside dans une vision du complexe d'Oedipe qui dénature, en l'affaiblissant, le mythe de Sophocle. Roheim fut le premier à souligner le fait que les rituels de séparation de la mère / soumission au père des primitifs faussent le complexe d'Oedipe :

"... la surabondance des rituels traitant de ce thème (l'oralité) est un camouflage du complexe d'Oedipe."[14]

Cette remarque s'applique bien évidemment à la circoncision. Cependant, Freud interprète l'aveuglement d'Oedipe comme une castration :

"La castration, et l'aveuglement qui s'y substitue, sont la punition... "[15]

C'est erroné. Chez Sophocle, averti par l'oracle, le père tente de tuer son fils en l'abandonnant dans la nature. Interpréter l'auto-punition d'Œdipe comme une castration, ce qui n'est pas un meurtre, est donc totalement fantaisiste. Freud a projeté sur le mythe de Sophocle la menace de castration de la circoncision, extrêmement prégnante puisque consistant en un début de réalisation. Pour Sophocle, l'aveuglement d'Œdipe symbolise seulement son ignorance, sa "cécité", son inconscience lorsqu'il a tué son père et épousé sa mère, double cécité donc (un œil pour papa, un œil pour maman). Le fait que Freud ait transformé cette métaphore en une affaire de castration est le comble de... son propre aveuglement, résultant de l'angoisse et des fantasmes de castration d'un circoncis. Dans le scénario de Sophocle, la punition paternelle est la mort, ce qui est le fantasme inconscient normal : désir de tuer son père pour épouser sa mère / peur d'être tué par lui. Freud a donc projeté sur le mythe hellénistique la très judaïque idée d'une punition par la castration plutôt que par la mort. Victime du traumatisme de sa circoncision, il a dénaturé, gauchi selon le terme de Roheim, l'Œdipe de Sophocle. Ce n'est pas Freud mais Sophocle qui a inventé l'inconscient et le complexe d'Oedipe. Freud, lui, inventé la science du déchiffrement de l'inconscient, ce qui est tout autre chose.
            La conséquence de ce biais culturel est une grave erreur théorique qui fausse la théorie et la pratique psychanalytique : Freud substitue aux fantasmes courants de castration un "complexe de castration" inexistant, qu'il intègre improprement au complexe d'Oedipe.
            Pour ceux qui n'ont pas été traumatisés par une mutilation sexuelle, à l'âge des impulsions sexuelles pour le parent du même sexe et de la jalousie envers l'autre, la menace imaginée par l'enfant face à ses désirs concernant le couple parental, n'est pas la castration mais la mort par exclusion de la famille. Freud a très justement formulé cela pour les filles mais très regrettablement pas pour les garçons !
            Dans les cultures pratiquant la circoncision, le complexe d'Oedipe (moment de l'intégration dans la société) est faussé. Une menace réelle de castration vient se substituer à la crainte imaginaire de la mort résultant du désir inconscient de tuer le parent du même sexe. Mais la bonne résolution de l'Oedipe ne peut résulter d'une atteinte (ou d'une menace d'atteinte) physique par autrui. Tout au contraire la mise en valeur, positive ou négative, d'une quelconque partie du corps, par une violence réelle ou verbale du groupe social, constitue une inacceptable ingérence dans le développement de l'individu et la vie familiale, source de psychopathologie de masse. Cette affirmation a trouvé une illustration particulièrement choquante en Israël où une décision de justice, heureusement réformée en appel, a condamné une mère à une lourde astreinte journalière tant qu'elle n'aurait pas fait circoncire son fils.
            Les circoncis, ou ceux qui ont subi des menaces de castration, peuvent trouver une échappatoire, croire à une atténuation en leur faveur de la Loi universelle. Rien de tel qu'une circoncision ou une menace de castration pour pervertir un enfant. Douter des actes de ses géniteurs lui est difficile. Il est naturellement conduit à se targuer, avec une grande richesse d'arguments, de leurs bienfaits comme de leurs méfaits, y compris envers lui-même. Devenu adulte, ce qui semble avoir toujours existé lui paraît naturel, il le reproduira.
            Le circoncis risque donc de faire de son infirmité un dérisoire alibi. Une castration partielle lui apporte le réconfort d'un signe d' "identification" le mettant au-dessus des femmes et du commun des mortels. Comme s'il suffisait d'une mutilation pour quitter (ou ne pas quitter) l'enfance ! Ce n'est pas tant que les autres hommes, les "étrangers", sont intimement considérés comme des exclus méprisables, sales et intouchables sous peine de contamination. C'est surtout qu'il serait impensable qu'ils épousent leur fille ou leur sœur. L'endogamie raciste et la possession des femmes sont certainement un des buts de l'opération. C'est aussi que la circoncision marque l'appartenance à une communauté violente – et donc supposée puissante. Prétendument plus rassurant que des documents d'identité, un signe particulier devient ainsi le paradigme du narcissisme de groupes qui s'excluent de la communauté universelle et discriminent cette dernière. Ce trait d' "identification" (amalgamée avec appartenance) place définitivement ses détenteurs dans une caste : les "élus", qui peut croire que tout lui est permis (lapidation, excision, mariage forcé, polygamie, … etc.) ou que tout lui est dû (la "terre promise"). C'est donc, par une action violente sur l'inconscient et les motivations puissantes du monde des affects, une technique perverse d'enrôlement de l'individu dans une société brutale. Elle renforce la division du monde en groupes rivaux se livrant à des guerres sans merci.


Conclusion

            La circastration est le boulet aux pieds de la psychanalyse qui interdit aux message de Freud d'être entendu. D'une part Roheim lui-même n'a pas tiré la conséquence de sa magistrale observation que les mutilations sexuelles sont susceptibles de provoquer l'échec de l'Oedipe, d'autre part la "castration" de la femme n'est pas un concept opérant. Par contre, en inventant des séances courtes aux tarifs délirants, Lacan a sauté sur l'idée de castration symbolique pour, comme l'a démontré Elisabeth Roudinesco[16], faire fortune en opérant la "castration" du portefeuille de ses clients. Cependant, la psychanalyse apporte une étiologie, une prévention et un traitement des maladies mentales. Le dépassement des failles dues à la mutilation sexuelle de son fondateur – ce qui suppose une restauration en profondeur – lui permettra de mieux le faire dans l'avenir. Elle stigmatise les mutilations sexuelles comme l'expression de la pulsion de domination par des fantasmes sadiques et pédophobes. Cette pulsion est fortement renforcée par le déni de la réalité de la perte et donc du crime. La psychanalyse apporte au combat contre les mutilations sexuelles d'abord une méthode de décodage de l'inconscient qui permet de retrouver dans chaque cas individuel l'enchaînement des circonstances du traumatisme, préalable à la guérison, ensuite la dynamique d'une éthique concernant à la fois le développement de l'enfant et la socio-politique. La barbarie des excisions féminines et masculines émane d'un désordre moral contagieux qui pousse les individus circoncis et même les peuples non circoncis vers l' "ordre moral". Elle doit être abolie dans les meilleurs délais.


Articles liés :
- Mutilations sexuelles et ordre moral,
- La circoncision, une dangereuse folie collective


Sigismond (Michel Hervé Bertaux-Navoiseau) – oldsigismund@hotmail.com
Chercheur indépendant en psychanalyse, ancien élève du Département psychanalyse de l'Université de Paris VIII, auteur de "Les mutilations sexuelles masculines et féminines, le plus grand crime contre l'humanité", disponible gratuitement sur https://independent.academia.edu/Michel_Herv%C3%A9_Bertaux_Navoiseau.


Ce texte a fait l'objet d'une conférence donnée le 4 septembre 2008 à l'université de Keele (RU), au 10ème symposium international de NOCIRC, organisé avec NORM-UK et la Faculté de droit de l'université. Il est publié sur le site de l'Institut européen psychanalyse et travail social : psychassoc.com et a été cité par Jean-Pierre Rosenczveig.




[1] Les jeux sexuels de vos enfants. Interview par Pierre Bénichou. Planning familial, octobre 1969 (3), 9.
[2] L'homme aux rats. 1909. Paris : PUF ; 1998. O.C., IX, 179, n., 2ème §
[3] Le petit Hans. 1909. Paris : PUF ; 1993. O.C., X, p. 31, n. 1.
[4] Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse. 1933. XIX. Paris : PUF ; 1995. O.C., XIX : 170.
[5] Abrégé de psychanalyse. 1938. Paris : PUF ; 1978. 60-62
[6] Le fétichisme. 1927. p. 131.
[7] Freud S. Trois Essais sur la Théorie de la Sexualité. 1905 Paris, Gallimard, 1932, pp. 147 et 148.
[8] Sur la sexualité féminine. 1931. Paris : PUF ; 1995. O.C. XIX. 12, 2ème §.
[9]
[10] L'homme parano. Paris : Odile Jacob ; 1992. p. 43.
[11] Correspondance Sigmund Freud – Anna Freud, 1904 – 1938. Paris : Fayard ; 2012. p. 89-90 et Préface d'Elisabeth Roudinesco, p. 15.
[12] Leçons d'introduction à la psychanalyse. 1916-17. Paris : PUF ; 2000. O.C., XIV, p. 170.
[13] L'homme Moïse et le monothéisme. Paris : Gallimard ; 1986. 223-24.
[14] Psychanalyse et anthropologie. 1950. Paris : Gallimard ; 1967. 192-93.
[15] Totem et tabou. 1912. Paris : PUF ; 1998. O.C., XI. 347.
[16] Histoire de la psychanalyse. t II.

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